Ning
Pendant quatre ans, j’ai souffert d’un prolapsus utérin de grade 3. Tous les médecins m’ont recommandé de faire appel à la chirurgie, mais j’ai refusé.
Après ma deuxième grossesse, je suis restée assez cambrée et je n’arrivais pas à « retrouver mon ventre ». J’avais aussi un souci de vessie qui n’avait pas repris sa place initiale et qui faisait que j’avais toujours des envies très pressantes pour peu d’urine finalement.
À peine quelques séances d’hypofitness ont suffi pour permettre à ma vessie de se repositionner correctement et de me libérer de la gêne associée.
Même si je ne suis pas encore très régulière dans ma pratique, je constate que ma posture s’est améliorée dans son ensemble. Mon ventre est plus tonique et je suis également rassurée de savoir que cela contribue à réduire le risque de descente de mes organes.
Mon dos était douloureux depuis des années, j’arrive maintenant à me tenir plus droite avec moins de contractures.
Les quelques minutes quotidiennes que je prends pour pratiquer l’hypofitness dans ma vie de maman à plein temps me permettent aussi de recharger mes batteries : le fait de s’appuyer sur la respiration profonde est une réelle détente pour moi !
Pendant quatre ans, j’ai souffert d’un prolapsus utérin de grade 3. Tous les médecins m’ont recommandé de faire appel à la chirurgie, mais j’ai refusé.
Depuis que je pratique l’hypofitness, j’arrive à me retenir quand j’ai envie d’uriner et mes règles ne sont plus aussi douloureuses qu’avant.
En 2007, j’ai subi une hystérectomie et une pose de bandelettes (pour soutenir l’urètre ou la vessie) qui ont entraîné la lésion de multiples nerfs dans la zone pelvienne et abdominale. Une maladie rare appelée “syndrome douloureux régional complexe” s’est alors développée.
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