Salut Trista, je voulais juste vous dire merci de m’avoir appris quelque chose d’inestimable.
Quand j’ai suivi votre cours, je me souviens de vous avoir demandé « quels muscles est-ce que j’active pour cela ? » et j’ai essayé d’« anatomiser » ce que je faisais jusqu’à ce que je puisse comprendre comment les postures et les hypopressifs fonctionnaient.
Je me souviens avoir été vraiment frustré et tu m’as dit de sortir de ma tête et de le ressentir. Et puis je me souviens de l’expression « laissez-vous vous sentir bien » répétée à maintes reprises tout au long du cours. Je n’avais jamais traité mes patients avec cette approche avant de suivre votre cours – j’ai toujours utilisé une approche éducative fondée sur l’anatomie, par opposition à une approche de type « ressenti » où les patients peuvent se connecter avec leur corps et sortir de leur tête.
Je ne sais pas si cette phrase a un sens, mais je voulais vous faire savoir que vous avez changé à jamais la façon dont je traite certains de mes patients. Je suis tellement heureux quand je les vois « sentir » le mouvement afin d’apprendre à changer leur respiration et sentir l’automaticité de leur noyau profond qui s’active. Leur corps se souvient de ce qu’il ressent et ils peuvent toujours y accéder.
Je viens de passer une excellente séance avec une patiente qui a subi de nombreux traumatismes et qui ne veut pas que je la touche, ce qui est difficile pour mon cerveau de thérapeute du plancher pelvien…. Je me retrouve à utiliser beaucoup de vos techniques de respiration et de poses modifiées, et ça a été vraiment amusant.
Ma taille s’affine et je suis pleine d’énergie tout au long de la journée : depuis les réunions au bureau jusqu’au moment de retrouver les enfants le soir, à la maison. Mes douleurs menstruelles ont également complètement disparu. La pratique de l’hypopressif apporte une grande satisfaction !
Les exercices hypopressifs fonctionnent si bien pour moi ! J’ai un pessaire juste pour ma tranquillité d’esprit et, depuis que je pratique les exercices hypopressifs et que j’ai le pessaire – que je ne porte que lorsque je fais des efforts physiques intenses –, je n’ai presque plus de symptômes.
Après ma deuxième grossesse, je suis restée assez cambrée et je n’arrivais pas à « retrouver mon ventre ». J’avais aussi un souci de vessie qui n’avait pas repris sa place initiale et qui faisait que j’avais toujours des envies très pressantes pour peu d’urine finalement.
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