En 2007, j’ai subi une hystérectomie et une pose de bandelettes (pour soutenir l’urètre ou la vessie) qui ont entraîné la lésion de multiples nerfs dans la zone pelvienne et abdominale. Une maladie rare appelée “syndrome douloureux régional complexe” s’est alors développée.

Vers 2018, on m’a diagnostiqué une cystocèle de grade 2, une entérocèle de grade 2 et une petite rectocèle. Ne voulant pas de chirurgie, j’ai commencé à chercher des traitements non invasifs et j’ai découvert l’Hypofitness. Quand j’ai commencé, mon but n’était pas de guérir mes prolapsus mais de les “contenir” pour éviter la chirurgie.

Mon instructrice, Trista, m’a guidée de façon experte tout au long de mon parcours d’apprentissage des postures hypopressives. Au début, Trista a dû m’apprendre à adapter mes mouvements, mais maintenant je sais que je peux faire toutes les postures sans accessoires ni modifications.

Ma routine matinale hypopressive quotidienne consiste en une combinaison de postures de niveau 1, de niveau 2 et de niveau 3. Mes symptômes de sensations de boule de bowling dans mon bassin et mes douleurs au bas du dos ont disparu.

Mon gastro-entérologue et mon médecin spécialiste de la douleur pelvienne sont agréablement surpris de l’amélioration globale de mon plancher pelvien. J’ai pu réduire le nombre de traitements de Botox au plancher pelvien en les espaçant.

Ma posture générale s’est améliorée et la plupart de mes ami·e·s pensent que j’ai perdu du poids, mais ce n’est pas le cas. Les postures hypopressives font maintenant partie de mon mode de vie et j’ai toujours hâte d’en apprendre davantage.